De l’aluminium

L’aluminium est utilisé partout : dans la construction automobile, dans les emballages alimentaires, dans l’industrie, mais aussi dans les médicaments, les cosmétiques, l’eau potable ou les vaccins.

De nombreuses études ont démontré que l’aluminium (ses composants, ses sels ou ses dérivés) favorisait l’apparition d’allergies, d’infections auto-immunes ou encore de la maladie d’Alzheimer. De plus en plus d’éléments convergent également vers la preuve d’une implication de l’aluminium dans le cancer du sein.

L’aluminium est une neurotoxine qui a en effet une influence sur la structure osseuse et le cerveau, l’organisme ne parvenant pas à l’évacuer. L’aluminium a donc naturellement été pointé du doigt dans le processus de fragilisation osseuse par deux chercheurs du CHU d’Angers en juillet dernier. Mais il est aussi mis en cause dans l’apparition dans certaines maladies cérébrales. Dès les années 1970, on constatait l’apparition d’encéphalopathies chez des personnes atteintes d’une insuffisance rénale, et dont ont épurait le sang avec de l’eau du robinet contenant de l’aluminium.

Par l’importance de son utilisation et sa consommation régulière, l’aluminium pourrait être au cœur d’un grand scandale sanitaire : nombre de scientifiques recommandent aujourd’hui ne pas utiliser les produits qui en contiennent, notamment les pansements gastriques, les capsules de café ou les déodorants.

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